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Affaire Auradou-Jegou : Inculpés de viol, les rugbymen ont décollé vers la France où ils sont attendus dans l’après-midiSportuneBébés et MamansMinutes Maison Affaire Auradou-Jegou : Inculpés de viol, les rugbymen ont décollé vers la France où ils sont attendus dans l’après-midiSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Affaire Auradou-Jegou : Inculpés de viol, les rugbymen ont décollé vers la France où ils sont attendus dans l’après-midiSportuneBébés et MamansMinutes Maison

admin 04 Sep 2024,16:40

Hugo Auradou et Oscar Jegou vont retrouver l’Hexagone. Les deux rugbymen français inculpés de en ont pris un avion de ligne mardi soir vers la France, après avoir été autorisés par la justice à quitter le pays sud-américain.

Après s’être enregistrés à l’aéroport Ezeiza de Buenos Aires, les rugbymen se sont dirigés vers la zone d’immigration sans faire de déclaration. Ils ont ensuite embarqué dans un avion d’Air France peu avant minuit. Ils sont attendus à Paris ce mercredi à 17h45.

Le feu vert du tribunal

Dans la journée, les deux joueurs avaient reçu le feu vert pour quitter l’Argentine lors d’une audience -en leur absence- au tribunal de Mendoza. Cette décision n’était pas une surprise. La justice a en effet suivi les recommandations du parquet selon lequel l’accusation a « perdu de sa force initiale ». A l’audience, l’accusation « ne s’est pas opposée », a précisé le tribunal de Mendoza.

« C’est un film d’horreur qui n’aurait jamais dû exister. Cela n’aurait jamais dû arriver, aucune plainte n’aurait dû être déposée », a déclaré Me Cuneo Libarona mardi soir à l’aéroport.

Les joueurs restent inculpés de viol aggravé

Auradou et Jegou, deux internationaux de 21 ans, restent inculpés, depuis près de deux mois, de viol aggravé car commis en réunion. Les faits présumés seraient survenus dans la nuit du 6 au 7 juillet dans une chambre d’hôtel de Mendoza, où le venait de remporter un test-match contre l’Argentine, première sélection pour les deux joueurs. Les joueurs affirment eux que les relations sexuelles avec la plaignante, une Argentine de 39 ans rencontrée en boîte de nuit, étaient consenties. Et ils nient toute violence, alors que l’avocate de la plaignante a évoqué « une violence terrible », qui a vu sa cliente « sauvagement battue ».

La Fédération française de rugby (FFR) a pour sa part salué « avec satisfaction » le retour en France des joueurs, une « nouvelle avancée vers la vérité judiciaire des faits ».

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