A , un nombre important d’athlètes avait « disparu ». Au moins 80 sportives et sportifs avaient pris la poudre d’escampette après avoir terminé leurs épreuves, dont l’ensemble de la délégation camerounaise de boxe, indique . A la suite des Jeux paralympiques de Paris, au moins deux parathlètes congolais ont suivi leurs traces.

D’après , Mireille Nganga, porte-drapeau du Congo-Brazzaville lors de la cérémonie d’ouverture, et Grâce Mouambako ont également disparu. Une enquête pour disparition inquiétante a ainsi été ouverte par le parquet de Bobigny pour tenter de retrouver la lanceuse de disque et de javelot et le sprinteur non-voyant et son guide, indique le quotidien.

Ces trois parathlètes ne seraient pas venus à la cérémonie de clôture des , dimanche. D’après Le Parisien, le responsable de la délégation paralympique congolaise a expliqué aux policiers que cela faisait plus de deux jours qu’il n’avait plus de nouvelles de ses compatriotes.