Après et en 2018 et, plus récemment, , c’est au tour des de se mettre en colère contre , qu’ils accusent de diffuser illégalement un de leurs hits lors de ses meetings de campagne électorale.

Dans un message publié sur le , le groupe américain de hard rock a en effet dénoncé l’utilisation – sans son accord – du morceau par l’ancien président des , citant le magazine us .

À chacun sa vérité

L’équipe de de Trump « n’a pas demandé l’autorisation aux Foo Fighters… et si cela avait été le cas, ils ne la lui auraient pas accordée », a précisé un porte-parole du groupe mené par dans les colonnes de la .

« Faux ! », a aussitôt répondu Steve Cheung, porte-parole de Donald Trump, qui affirme que ses équipes ont bien le droit de diffuser la . « C’est dans ces moments-là que les faits comptent, ne soyez pas des affabulateurs », s’est-il insurgé sur X.

Révoltés, les ont réagi en annonçant que « toutes les royalties obtenues par l’utilisation de la chanson par Donald Trump seront reversées à la campagne de  », sa concurrente démocrate à la . Et c’est certainement la solution la plus efficace – et maline – pour parvenir à leurs fins.