Mieux vaut tard que jamais : plus de trois ans après la , le PDG de (, , , ), a estimé lundi 26 août 2024 que les « pressions » alors exercées par le américain étaient « une erreur ».

Par « pressions », entend que ses équipes ont été invitées, en 2021, à retirer des contenus liés au Covid-19, « y compris l’ et la satire », sur ses plateformes de , selon une lettre adressée à une commission du .

« Prêts à riposter si une telle situation se reproduisait »

Dans cette missive à Jim Jordan, le président de la commission judiciaire de la , et rendue publique par les républicains qui en sont membres, Zuckerberg aborde ainsi des controverses relatives à la sur ses .

« La pression du gouvernement était une erreur, et je regrette que nous n’ayons pas été plus francs à ce sujet, a écrit M. Zuckerberg. Nous ne devrions pas compromettre nos normes de contenu en raison de la pression exercée par une , quelle qu’elle soit, et nous serons prêts à riposter si une telle situation venait à se reproduire ».

Du pain béni pour les républicains

Ces déclarations interviennent à un peu plus de deux mois d’une marquée par une vague de sur les réseaux sociaux, notamment en rapport avec les candidats au scrutin.

Les républicains considèrent d’ailleurs cette lettre comme une victoire, le compte de la commission judiciaire de la Chambre des représentants des républicains sur le la qualifiant de « grande victoire pour la  ».