logo

Aisne : Qui sont les « Paulo » dont les gendarmes se payent la tête ?L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentementSportuneBébés et MamansMinutes Maison Aisne : Qui sont les « Paulo » dont les gendarmes se payent la tête ?L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentementSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Aisne : Qui sont les « Paulo » dont les gendarmes se payent la tête ?L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentementSportuneBébés et MamansMinutes Maison

Mikaël Libert 27 Aug 2024,00:41

Les qui n’a tellement pas de chance que quand un avion tombe dans le monde, c’est sur ses pompes. Les Américains , pour afficher les hystériques à qui appartient toujours le bout de trottoir devant lequel vous vous garez. Les de l’ ont désormais leur « Paulo », pour désigner le narvalo du volant qui cumule les infractions comme d’autres cumulent les mandats.

Parce que leurs histoires hallucinantes avec des conducteurs toujours moins scrupuleux ne se comptent plus et parce qu’il devient compliqué de leur trouver à chaque fois des prénoms inventés, les gendarmes de l’Aisne ont décidé, mi-août, de surnommer « Paulo » les pires automobilistes. Dans une série de posts intitulée « l’instant Paulo », les militaires exposent les cas les plus fous croisés sur les routes du département.

Des situations toujours improbables

Le dernier a été publié vendredi, pour une interpellation réalisée le 16 août. « Paulo vous manquait ? Pas de panique », commencent-ils avant d’expliquer son cas. Un homme de 35 ans, « déjà sous le coup d’une annulation de permis pour récidive de conduite sous stupéfiants », a été interpellé après un délit de fuite et « positif aux stupéfiants ».

Ou un autre, deux jours plus tôt, qui a pris le volant largement alcoolisé : « mais Paulo s’en fout, à 6h45 aucun risque de croiser les gendarmes. » Sauf que si, mais Paulo ne s’arrête pas pour autant. Il finit par abandonner sa voiture pour se planquer derrière un arbre dont il dépasse des deux côtés. « Il est en fait aussi invisible qu’un exhibitionniste au milieu du Stade de France un soir de finale », plaisantent les gendarmes.

Et toujours Paulo qui fait des siennes. Cette fois, il a pris l’autoroute complètement ivre. Pas de chance, il a crevé deux pneus sur le trajet et a dû se garer sur la bande d’arrêt d’urgence. Quand les gendarmes l’ont trouvé, « il est en caleçon et gît côté passager » après s’être vomi dessus.

Bref, on ne va pas dire qu’on attend avec impatience la suite des aventures de Paulo avec les gendarmes même si on est quasiment sûr que le prochain épisode ne devrait pas tarder à arriver.

Disclaimer: The copyright of this article belongs to the original author. Reposting this article is solely for the purpose of information dissemination and does not constitute any investment advice. If there is any infringement, please contact us immediately. We will make corrections or deletions as necessary. Thank you.