Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap' pour vous aider à y voir plus clair.

La fête du sport continue pour onze jours supplémentaires en France. Paris lance ce mercredi soir ses premiers , en commençant par une nouvelle cérémonie hors stade, organisée devant un superbe panorama. Une majorité des 4.400 athlètes, représentant 168 délégations, s’apprêtent à défiler devant près de 50.000 spectateurs réunis entre les Champs-Élysées et la Place de la Concorde pour un spectacle de trois heures au nom de « Paradoxe ». Les organisateurs ont promis « la même ambition » que la cérémonie des JO du 26 juillet, saluée mondialement. Et pour mener les athlètes sur la route vers les médailles d’or, les porte-drapeaux tricolores sont Alexis Hanquinquant (para-triathlon) et Nantenin Keita (para-athlétisme).

Si le nom du prochain Premier ministre d’ n’est pas encore connu, les derniers rebondissements politiques semblent tout de même avoir rassuré les patrons. L’annonce lundi par l’Elysée qu’il n’y aurait pas de gouvernement a en effet soulagé les chefs d’entreprise. Ils n’en attendent toutefois pas moins la constitution rapide d’un gouvernement pour sortir d’un attentisme jugé délétère. « J’ai été suffisamment critique à l’égard du programme de pour dire que cette annonce nous rassure », a ainsi reconnu mardi, à la Rencontre des Entrepreneurs de France (REF) du Medef, le président du mouvement, Patrick Martin. Le patronat s’inquiétait particulièrement des hausses prévues de fiscalité, ou du projet de porter le SMIC à 1.600 euros par mois ou encore d’une abrogation de la réforme des retraites, souhaitée aussi par le .

va devoir s’expliquer devant la justice. L’animateur vedette et agent immobilier comparait en effet ce mercredi pour des sur deux anciennes compagnes. L’audience, devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris, doit débuter à 13h30. Devenu populaire par ses émissions sur M6, il est poursuivi pour des « violences habituelles physiques et/ou psychologiques par concubin » entre août 2018 et avril 2022 sur l’une de ses anciennes compagnes, ainsi que pour des « violences habituelles psychologiques par concubin » sur une autre femme entre décembre 2021 et septembre 2022. Au cours de sa garde à vue, en mars dernier, Stéphane Plaza avait « réitéré de manière claire qu’il n’était pas violent, ne l’avait pas été et ne le serait jamais », avaient réagi à l’époque ses avocats.